Natalia, est né à Madrid le 27 novembre 1969.
Elle est considérée comme une des actrices espagnoles les plus universelles par sa formation dans le monde de la scène mais aussi par la danse et la chanson.

Depuis toute petite elle rêve de devenir. A 16 ans elle prends des cours d'interprétation. À l'adolescence elle est fascinée par le monde musical et la façon de travailler des Américains. Elle souhaite se former d'avantage en tant qu'actrice. En même temps qu'elle étudie l’interprétation, elle continue ses études de Langues : Anglais et français.

Elle voulait aussi étudier la Chanson et la Danse, car selon elle " c'est un monde magique". Elle fait des petits travails en tant que danseuse et chanteuse.  Ensuite elle revient dans le monde de l'Interprétation. Elle a travaillé professionnellement pendant un temps comme chanteuse dans différentes spécialités.

Dans " El super" ( série espagnole) elle a joué durant 4 saisons (du 6 Septembre 96 au 31 Décembre 99) où elle a découvert une autre dimension dans laquelle elle pouvait communiquer ses sensations d'une manière plus intense et avec davantage d'intimité. Cette série lui a apporté un grand apprentissage puisque le personnage qu'elle interprétait, Julia Ponce, lui a apporté beaucoup de connaissances pour sa formation d'actrice. C’était un personnage qui passe par des situations très diverses et difficiles (elle avait beaucoup de problèmes personnels) elle devait se mettre dans sa peau pour lui donner de la vie, le rythme d'enregistrements auquel ils l'a soumettaient, tant à à elle comme à aux autres acteurs était épuisant. Mais ça reste quelque chose de très positif puisque comme elle dit : "ça développe l'instinct dramatique".

Natalia et Julia en principe ne se ressemblaient pas, ce qui lui est arrivé a été qu'avec le temps Natalia il lui a apporté une partie de sa personnalité

En travaillant dans "Ce qui est Superbe" il lui a été proposé de chanter la fin de la série (dans la seconde saison) et elle a accepté enchantée. Elle a elle-même composé les paroles de la chanson " caras opuestas" qui est le final.

En ce moment, elle serait partante pour l'enregistrement de son propre disque.

Vers le milieu de la troisième étape a commencé une tournée dans quelques ville de l'Espagne, comme : Murcie, La Corogne, Bilbao, Valence... avec une oeuvre dirigée par Ana Diosdado . L'oeuvre a débuté en Murcie et s'est fini à Madrid. Elle interprétait Sisi, une femme éprise de deux hommes : Flip et Víctor.


Elle consolide sa trajectoire sur les scènes espagnoles avec sa présence dans la Compagnie Théâtre de la Danse : "La pasión de Dracula" (1990-1991), "A fin.Solos"(1992-1993), le personnage : Mère Abri. Un peu plus tard dans la Compagnie Nationale de Théâtre Classique, dans laquelle elle est intervenue avec des rôles principaux dans ses assemblages "la grande sultanine".

En 1888, elle intervient dans le filù "no agas planes con Marga" de Rapahaêl Alcazar.

En 1996, elle danse dans le film " tu nombre envenena mis sueno" dirigé par Broyer.

Natalia a aussi fait partie du groupe de Danse de Carmen Senra et a été dans l'école de danse de Carmen Roche.

Elle a également présenté le programme "dimanche est le nôtre" pour TVE2 ( chaîne de télévision espagnole) et a été une des principales protagonistes de "A mi manera", avec Jesus Hermida et collaborateur habituel "Inocente Inocente"(comme actrice, dans les plaisanteries) pour ce qui est autonomes.

En 1987, elle a collaboré avec Luis Eduardo Aute dans quelques-uns de ses travaux de disque. En proposant des paroles de chansons, comme dans  "Tengo Sed". Elle a aussi fait des choeurs dans diverses chansons du disque, comme  dans la chanson "Idiosyncrasie"... 

Du 6 à au 12 avril 2001, on a étrenné à Madrid l'oeuvre "El Cementerio de Automóviles"dirigida par Juan Carlos Pérez de la Source, (Centre Dramatique Nacional), dans le Théâtre l'Abbaye Interprétait à Dila. Dila et Milos (Juan Gea), les protagonistes, échangent les rôles de la victime et du bourreau. Dans cette oeuvre il y a des carrières, des fuites, des sauts au-dessus d'une feraille qui loge un milieu menaçant et non solidaire, dont la seule note d'humanité est l'fornication incontinente. De ce monde non solidaire, émane la crucifixion finale et le silence d'un peuple, éloigné, qui demandait de la musique libéralisatrice. (L'oeuvre a été aussi représentée à Tolède).